Le Cheval et le Tigre sont d’excellents choix pour des relations durables, mais l’âme soeur du Chien est le Lapin. Les associations avec le Dragon ou le Coq peuvent être difficiles.
Le Rat ne peut s’empêcher de corriger les erreurs trop humaines du chien, ce qui peut le rabaisser - une catastrophe du point de vue de l’anxiété du chien. La dynamique entre ces deux là ressemble à celle d’une relation parent / enfant, celle qui conduit à des luttes de pouvoir et des interactions difficiles. Toute infidélité de la part du Rat sera considérée comme une trahison absolue par le chien fidèle.
Les rapports entre le buffle et le chien seront plutôt faciles. Le chien gardera la maison. Le chien pourra avoir confiance dans le buffle travailleur, mais la rigidité de celui-ci heurtera souvent sa sensibilité.
Le tigre et le chien vivront ensemble de grandes aventures et combattront côte à côte au nom de la justice pour défendre les grandes causes. Le chien se trouvera par la force des choses souvent allié avec le tigre, qu’il secondera très efficacement en restant dans l’ombre.
Tout ira bien entre le lapin et le chien honnête. C’est avec le lapin placide et serein que le chien pourra trouver une certaine paix.
Il faut que le dragon évite le chien inquiet, pessimiste et réaliste, qui ne croira pas en lui. Le dragon est trop orgueilleux pour accepter l’esprit critique et la causticité du chien.
Le serpent et le chien s’entendent bien. Le chien laisse au serpent toute liberté mais à la longue le serpent risque de s’ennuyer un peu car le chien ne saurait le dominer.
Le cheval fera bon ménage avec le chien. Celui-ci, trop occupé à résoudre ses grands problèmes, n’attachera aucune importance à l’instabilité sentimentale du cheval. Il pourra vivre sa vie. Le chien pourra être heureux avec le cheval qui lui laissera ses grandes causes en échange d’un peu d’indépendance.
Le couple chèvre-chien, en amour ou dans le travail, est voué à l’échec. Ces deux pessimistes traîneraient leur vie comme un carcan et seraient éternellement mécontents l’un de l’autre. Le chien ne supportera pas les caprices de la chèvre. Il la trouvera intéressée et superficielle.
Trop cynique et critique, le chien refusera d’avoir des contacts suivis avec le singe; cela vaut mieux d’ailleurs, car ils se piqueraient sans arrêt…
Le chien trouvera le coq superficiel et le lui dira, ce qui n’arrange rien.
Ce sont deux êtres graves qui sont très compatibles entre eux. Chacun examine l’autre avec l’oeil de la loyauté éprouvée. Ces deux confidents naturels sont bien armés pour se soutenir mutuellement dans les moments d’angoisse et d’inquiétude.
L’honnêteté, la naïveté et la sensualité du cochon profiteront au chien; il sera rassuré et épanoui dans cette relation… Mais il souffrira lorsque le cochon l’abandonnera, simplement pour être un peu seul. Le cochon comprendra mal les inquiétudes du chien : bon vivant, il est énervé par ceux qui visent des buts trop inaccessibles.